“GOT MY FLASH ON IT'S TRUE„

Spoiler:

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NOM ♡ Specter. PRÉNOM(S) ♡ Greyson Rhett. ÂGE ♡ 24 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ♡ 17 Décembre, à Philadelphie, Pennsylvanie, États-Unis. NATIONALITÉ ♡ Américaine. STATUT ♡ Célibataire. PROFESSION/ÉTUDES ♡ Gardien de nuit dans un musée, il est paparazzi le jour. GROUPE ♡ Workers. TRAITS DE CARACTÈRE ♡ Grognon, geignard, lâche, faussement torturé, ennuyé, socialement maladroit, rabat-joie, curieux, méfiant, philosophe (médiocre), théâtral.

❝ the right profile ❞

un Sa mère, de pure souche anglaise, a essayé en vain de l'initier aux rites sacrés du thé : Rhett préfère le café, dont il ingère chaque jour des quantités astronomiques.
deux Enfant, il était plutôt renfermé et déprimé en permanence. Il lisait beaucoup, s'entendait bien avec ses camarades, mais il ne semblait pas prendre de plaisir à se mêler à eux, et il n'avait jamais vraiment l'air satisfait. En cours, il réussissait bien, et paraissait suffisamment attentif pour que ses professeurs le laissent tranquille : en vérité, il n'écoutait jamais rien et passait son temps à rêver. Rêver a, d'ailleurs, toujours été son occupation favorite.
trois Il a un frère jumeau, beaucoup plus taquin, malicieux et enjoué que lui - il est juste impossible de les confondre.
quatre Rhett écrit des poèmes. Ou, du moins, il essaye.
cinq Il a toujours été un peu dans sa bulle, mais fait des efforts depuis quelques années pour en émerger plus souvent. Jusqu'au début de son adolescence, il avait tendance à se perdre dans ses pensées et à passer son temps le nez fourré dans des bouquins fantastiques ; il rêvait sa vie, l'idéalisait, et était toujours déçu par la tournure monotone que prenaient systématiquement les évènements. C'est le jour de ses onze ans qu'a eu lieu sa première crise existentielle, quand il a brusquement compris qu'il ne recevrait pas de lettre de Poudlard et qu'il était condamné à passer le reste de sa lamentable vie dans ce ridicule corps de moldu qu'il l'insupportait plus que tout.
six Sa mère a toujours été pleine d'attention à son sujet, veillant sur lui avec exubérance et maladresse. Quand il avait douze ans, il a participé à une pièce de théâtre au sens assez obscur, mettant en scène des araignées qui se lamentaient pendant une heure et quart de la façon dont elles étaient perçues par le reste du monde - il s'agissait là sans doute d'une énième métaphore sur le mal-être adolescent. À la suite de cet épisode déconcertant, Ellen Specter ne trouva rien de mieux à faire qu'offrir une mygale à son fils pour lui témoigner son appui. Perplexe, Rhett a tenté d'accueillir ce cadeau avec gaieté de coeur, en songeant que ce genre d'animal ne devrait pas vivre bien longtemps - il ignorait alors que l'espérance de vie d'une mygale femelle est d'une vingtaine d'année. Depuis, il s'est habitué à son araignée qu'il a nommé Mimmi à un moment où l'inspiration lui faisait clairement défaut.
septLes gros chiens lui font vraiment peur. En revanche, il a tendance à trouver les plus petits roquets risibles - il ne les apprécie pas davantage cela étant.
huit C'est probablement de sa mère, grande tragédienne dans sa vie professionnelle (elle était actrice du temps de sa jeunesse) comme à la maison, que Rhett tient son sens de la théâtralité. Dès qu'il en a l'occasion, le jeune homme se plonge dans des crises aussi diverses que variées (existentielles, sentimentales, familiales, identitaires...) et semble se complaire dans le rôle du poète maudit torturé - bien sûr, il est à peine crédible, sinon c'est pas drôle. Vous pouvez également compter sur lui pour faire ressembler votre vie à un épisode d'Amour, Gloire et Beauté : si vous cachez des squelettes dans votre placard, nul doute qu'il va aller y fouiner et les révéler au grand public. Et parce qu'il ne sait absolument pas tenir sa langue, il prétend souvent qu'il n'y a rien qui l'importe autant que la Vérité - l'honnêteté et la franchise n'ont pourtant rien à voir avec le besoin compulsif du jeune homme de faire éclater des scandales à tout va.
neuf Passionné de photographie et de cinéma depuis son plus jeune âge, il participait à une sorte de club audiovisuel au lycée, si bien qu'il répondait toujours présents lors des différents évènements scolaires, filmant et photographiant tout ce qui méritait de l'être. Quand il n'était pas sur scène à jouer les araignées philosophes, il était ainsi en coulisses, ou accroupi près de la scène, enregistrant chacun des faits et gestes des différents protagonistes sur des cartes mémoires numériques - moins romantiques que les pellicules, mais plus pratiques.
dix Dans l'idéal, il voudrait être reporter photographe, ou simplement photographe, ou à la limite cameraman, mais les offres se font rares et il n'a rien trouvé de plus glamour que paparazzi pour l'instant. Ce qui lui convient assez, même s'il a du mal à l'admettre. Peu sportif, ce métier lui permet de maintenir une certaine condition physique (vous n'imagineriez pas à quel point...), et il adore les sensations que la « chasse à l'homme » lui procure.

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❝ in my boat ❞

« Tu as quelque chose à dire pour ta défense ? » Greyson Rhett Specter shoote dans des graviers qui ne lui ont pourtant rien fait, sans daigner relever le regard, car il risquerait alors de croiser celui, inflexible et impitoyable, de son père. Plus que jamais, il se sent insignifiant. Il a beau chercher dans tous les recoins de sa tête, il ne trouve rien à dire ; ce n'est pas qu'il manque d'imagination, ou qu'il n'y a pas mille choses qui lui viennent à l'esprit, mille choses qu'il pourrait invoquer pour s'expliquer. Ce n'est pas ça. Il sait juste que, quoi qu'il dise, quoi qu'il fasse, ça ne sera pas suffisant - l'intonation même de la voix de son père n'a rien d'interrogatif, elle ne laisse place à aucune justification, et il n'attend rien de lui - il n'a jamais attendu quoi que ce soit de lui. Dans un sens, c'était plus facile ainsi. Rhett n'a jamais pu décevoir son père, parce que celui-ci ne lui en a jamais laissé l'occasion. L'amour paternel est là pourtant - c'est l'estime qui se fait absente. Cloîtré dans sa chambre, Rhett rêve du jour où il gagnera le respect de son père ; il a encore le temps, il n'a que seize ans, ça viendra - c'est ce qu'il se dit en tout cas. Muet comme une carpe, il attend la sentence, qui ne tarde pas à pointer le bout de son nez. « Une fois que nous serons rendus à la maison, je te confisquerai ta caméra et ton appareil photo. C'est fini ces conneries. » Rhett peine à déglutir, et lance un regard plein d'incompréhension à son paternel, qui continuait de marcher avec une sérénité apparente à ses côtés. « Mais papa ! Tu... Tu peux pas faire ça ! C'est toute ma vie ! » L'homme lève les yeux au ciel en secouant légèrement la tête d'un air à la fois consterné et pourtant amusé - un mélange pour lequel il est réputé. « Ça fait un moment que ta mère et moi on se dit que tu dois te débarrasser de tout ton matos. C'est pas bon pour toi, fiston. Tu te caches derrière, t'en oublies de vivre ta vraie vie, t'es passif, tu fais rien, tu te contentes d'observer, de 'capturer des instants', mais ça veut dire quoi ça ? Tu crois que c'est ça, vivre ? On veut ce qu'il y a de mieux pour toi, et tu l'obtiendras pas comme ça. Faut que t'arrêtes de t'obstiner dans ton déni de la réalité... » enchaîne le paternel, brusquemment volubile dès qu'il s'agit de se montrer moralisateur. Déni de réalité, isolement volontairement, contemplation passive, ou autant de termes que Rhett a déjà entendu dans la bouche de son psy - son père, sous ses grands airs, ne fait que répéter ce qui a déjà été dit. « J'ai une passion. C'est bien, non ? » maugrée le jeune garçon. Son géniteur semble réfléchir à l'idée, l'envisageant sous un nouvel angle. « Tu récupéreras ton équipement si tu parviens à terminer l'année sans te faire virer. finit-il par céder. Mais franchement, qu'est-ce qui t'es passé par la tête ?! » C'est une question rhétorique et pourtant le jeune homme ne peut s'empêcher d'y répondre. « J'en sais rien, je pensais pas que... Je pensais pas qu'ils finiraient tous par le découvrir. » admet-il à contre-coeur, grimaçant lui même en pensant à la naïveté dont il avait fait preuve. « Ben voyons. Parce que Internet c'est l'endroit le plus secret au monde, bien sûr. Mais le pire dans tout ça mon bonhomme, c'est que je suis intimement convaincu que tu as fait tout cela sciemment. Avoue-le : tu cherches à te faire haïr par tes petits camarades, non ? Parce qu'à ta place je n'agirais pas autrement si je cherchais à me faire ostraciser. » Rhett secoue la tête en signe de dénégation - cette conversation l'use, il a envie de fuir loin d'ici, d'abréger ses souffrances en coupant court à cette discussion qui, il le sait, ne mènera nulle part. Ses échanges avec son père ne débouche jamais sur rien, aucun des deux n'en retire quoi que ce soit, aucun des deux ne comprend mieux l'autre à la fin - au contraire, l'incompréhension globale qu'ils éprouvent l'un envers l'autre ne fait que croître, et le fossé qui les sépare n'a de cesse de s'agrandir. « Ce n'est pas ma faute si... Ce n'est pas ma faute si ma conception des choses n'est pas la même. Là où ils voyaient des scandales, je voyais juste de l'art. Du naturel. Des instincts, de la beauté. Ce n'est pas ma faute s'ils en ont honte. » s'explique-t-il en se passant une main sur le front, persuadé à tort d'être en sueur. L'ironie qui suinte de chaque terme qu'emploie son paternel finit par lui taper sur les nerfs, et il n'en peux plus de ne jamais être pris au sérieux. Oui, il a monté un site internet sur lequel il exposait ses photographies. Oui, un certain nombre de ces clichés avaient été pris sans le consentement des principaux concernés, ses camarades de classe. Oui, encore, une partie importante de ces photographies était compromettante, mais il ne comprenait pas pourquoi on rejetait la faute sur lui, ni pourquoi il avait fini dans le bureau du directeur pour cela. Ces instants qu'il avait capturés, c'était justement cette réalité qui leur semble si chère à tous. Chacune de ces photographies était entièrement vraie - et c'est exactement ce qu'il aimait à leur sujet. Alors pourquoi est-ce que ça gênait tout le monde ? Pourquoi n'étaient-ils pas prêt à accepter la vérité, à l'avoir sous les yeux ? « Je rentre pas tout de suite, je vais voir Emma. » souffle Rhett avant que son père ait eu le temps de répliquer quoi que ce soit. Aussitôt, le garçon s'enfuie en courant, traversant la route sans réfléchir, zigzaguant entre les voitures qui ne se retiennent pas de le klaxonner à tout va - si bien qu'il n'entend même pas son père lui crier de revenir.

Presque dix ans plus tard, rien n'a vraiment changé. Rhett n'aspire qu'à vivre, vraiment, vivre toujours plus fort, avec toujours plus d'intensité. Il n'a pas abandonné son appareil photo, ni sa caméra, ni ses mauvaises habitudes. Grognon, susceptible et toujours partant pour se plaindre dès qu'il en a l'occasion, il n'a pas que des amis - son talent naturel pour se retrouver dans des situations complexes et inextricables n'aidant pas. La vie l'ennuie trop, il la trouve monotone et cherche constamment à briser sa routine quotidienne avec laquelle il ne parvient à cohabiter ; il cherche le frisson, l'adrénaline, le conflit, mais il n'a toujours pas compris que c'est là que résident ses réelles motivations, et reste persuadé que la cause première de ses ennuis est son insatiable soif de vérité - ce qui est ironique quand on sait qu'il se ment à lui même depuis tout ce temps.

Re-bienvenue Gwenn, en espérant que tu te fasses mieux à ce personnage. I love you

Je t'ai déjà réservé Rob et tout et tout. “GOT MY FLASH ON IT'S TRUE„ 918584270

Citation :: Jusqu'au début de son adolescence, il avait tendance à se perdre dans ses pensées et à passer son temps le nez fourré dans des bouquins fantastiques ; il rêvait sa vie, l'idéalisait, et était toujours déçu par la tournure monotone que prenaient systématiquement les évènements. C'est le jour de ses onze ans qu'a eu lieu sa première crise existentielle, quand il a brusquement compris qu'il ne recevrait pas de lettre de Poudlard et qu'il était condamné à passer le reste de sa lamentable vie dans ce ridicule corps de moldu qu'il l'insupportait plus que tout.

Non je ne me sens pas visée.

Merci. J'avais remarqué que tu me l'avais déjà réservé, t'es plus rapide que la lumière. (j'ai préféré vérifier parce que, avec ma chance, je savais qu'il allait me passer sous le nez sinon. )

Rooh mais cette partie là de ma fiche c'est la partie autobiographique, t'es trop comme moi en vrai ça me stresse. (N'empêche j'y croyais dur comme fer à ma lettre moi. )

On m'appelle régulièrement Buzz l'éclair ou Speedy Gonzales, effectivement. “GOT MY FLASH ON IT'S TRUE„ 248604097

Je t'assure qu'on croyait tous à notre lettre ... Malgré tout, on sait au fond de nous qu'on est plus que des moldus. “GOT MY FLASH ON IT'S TRUE„ 1229384058

re.
et oui, j'y croyais aussi.

Poudlard, j'en ai toujours pas fait mon deuil non plus. “GOT MY FLASH ON IT'S TRUE„ 492519974

Re-bienvenue donc. I love you

(re) bienvenue “GOT MY FLASH ON IT'S TRUE„ 3101353525

Rebienvenue! “GOT MY FLASH ON IT'S TRUE„ 416005983

(re)bienvenue!
en espérant que tu trouves la bonne voie avec celui-ci “GOT MY FLASH ON IT'S TRUE„ 660555693

et oui, Ju c'est notre flash à nous Laughing

reBienvenue ^^

(Re)Bienvenue I love you

Pour ne pas faire clicher, excellent choix d'avatar “GOT MY FLASH ON IT'S TRUE„ 3101353525

Citation :: Jusqu'au début de son adolescence, il avait tendance à se perdre dans ses pensées et à passer son temps le nez fourré dans des bouquins fantastiques ; il rêvait sa vie, l'idéalisait, et était toujours déçu par la tournure monotone que prenaient systématiquement les évènements. C'est le jour de ses onze ans qu'a eu lieu sa première crise existentielle, quand il a brusquement compris qu'il ne recevrait pas de lettre de Poudlard et qu'il était condamné à passer le reste de sa lamentable vie dans ce ridicule corps de moldu qu'il l'insupportait plus que tout.

re-bienvenue, cher coloc

Bienvenue à nouveau
bon courage pour cette nouvelle fiche et ce nouveau personnage.

Welcome.

rebienvenue alors et bonne fiche
très bon choix d'avatar soit dit en passant

re-bienvenue
en espérant que tu t'en sortes mieux avec ce personnage

(re) bienvenue Gwenn tongue

Re-bienvenue !

Merci à vous tous.

Bienvenuuue ! “GOT MY FLASH ON IT'S TRUE„ 2198005692

re bienvenue I love you

bienvenue.

Maieuh, je pensais qu'on serait complice des vieilles
Bref, je file avant de me faire fouetter

(Re)bienvenue alors tongue

» KHERINGTON δ i believe it all to be true.
» i heard that your dream came true. (ec)