You never know what could be waiting outside (gale johnson)

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NOM ♡ Johnson. PRÉNOM(S) ♡ Gale Alexander. ÂGE ♡ 23. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ♡ 11/11/1987, Philadelphie. NATIONALITÉ ♡ Américaine. STATUT ♡ Secrètement en couple. PROFESSION/ÉTUDES ♡ Homme de main se faisant la plupart du temps passer pour un avocat. GROUPE ♡ Workers. TRAITS DE CARACTÈRE ♡ Consciencieux, stratège, concentré, passionné, méticuleux, fidèle, fiable, violent si nécessaire, protecteur, déterminé, indépendant, distant, méfiant, impétueux, versatile. .

❝ the right profile ❞

Il agit comme s’il n’avait aucun souvenir de ses parents ou de sa vie avant d’être recueilli par les Hopkins. En réalité, son passé l’a beaucoup hanté mais il a finalement tourné la page. Il fait cependant des rêves agités qui le ramènent souvent à son enfance. Il n’a plus jamais eu aucun contact avec ses géniteurs et n’en ressent aucun besoin.

Adolescent, il a fait quelques séjours à l’hôpital pour diverses fractures dues à ses activités périlleuses. En effet, il adore tout ce qui a trait aux sensations fortes. Rien de tel pour lui qu’une poussée d’adrénaline pour passer un bon moment. Mais comme il n’est pas indestructible, certaines de ses chutes lui ont valu de sérieuses blessures. Dans la même veine, il voue un culte aux véhicules à deux roues. Il possède une moto dont il prend soin comme de la prunelle de ses yeux.

La première fois qu’il a mis fin à une vie, il avait dix-neuf ans. Ce n’était pas voulu mais son ‘père’ s’est chargé de l’affaire et il n’a jamais été inquiété. Les morts suivantes qu’il a sur la conscience, ce sont des meurtres qu’il a commis pour ce même homme qui se charge de le tirer d’affaire. Il n’aime pas ôter une vie mais ne ressent pas vraiment un malaise quand il le fait. C’est son boulot.

Il ne fume qu’occasionellement et lorsqu’il le fait, c’est souvent quand il est pensif. C’est sa façon à lui de se concentrer ou de se laisser mener par ses réflexions.

Sa loyauté est sans limite. Elle fait toutefois exception en ce qui concerne sa liaison avec Chiles. C’est avant tout pour la protéger elle qu’il tait cette relation mais c’est aussi parce qu’il ignore complètement quelle serait la réaction de son ‘père’ à cette nouvelle. Il ne serait pas étonné d’être menacé s’il ne mettait pas fin à leur histoire. Or, la simple idée de ne plus la voir lui serre le coeur. Maintenant qu’il a goûté à ses lèvres, il n’est pas certain qu’il pourrait retourner à une vie où Chiles n’est que sa soeur.

S’il est sociable avec les gens qu’il connait bien, il peut se montrer très distant et méfiant vis-à-vis du commun des mortels. Il lui arrive parfois de regretter de ne pas pouvoir compter de meilleur ami parmi ses proches mais il sait très bien que son train de vie ne lui permettrait pas de se confier, de toute façon, puisqu’il n’évoque jamais son gagne-pain ni ce qu’il fait de son temps.

Il aurait aimé aller à l’université. Curieux de tout apprendre, il aurait dévoré ses cours et aurait probablement été promis à une belle carrière s’il en avait eu l’opportunité. Mais il s’est consacré à tout autre chose et a donc raté cette chance. Il s’efforce d’apprendre par lui-même mais faute de temps, n’y parvient pas comme il le souhaiterait.

Ses sentiments pour Chiles ne datent pas d’hier mais n’ayant jamais été du genre à parler de ce qu’il ressent, il ne l’a jamais avoué. Il a mis un moment à comprendre que ce qui faisait battre son coeur à toute vitesse, c’était elle et non ce qu’elle pourrait demander au sujet de son père. Il n’a jamais été intéressé par les autres filles et il vit donc sa relation avec la jeune femme, aussi secrète soit-elle, avec passion et ferveur. Il sait qu’il pourrait aller contre tous ses principes pour elle et même risquer la rupture avec son père adoptif, si cela lui permet de jouir d’une véritable vie aux côtés de Chiles.

Il a failli mourir quand l’une de ses tâches a mal tourné. Il s’en est tiré de justesse mais cela a quelque peu ébranlé son assurance. Suite à cela, sa prudence a doublé, sa patience également et sa volonté de tout contrôler n’a fait qu’augmenter.

Pour lui, rien de tel qu’une bonne musique pour se calmer. Il pourrait passer des heures, allongé à même le sol, les yeux clos, bercé par une mélodie douce. Il n’est cependant pas très matérialiste et ne possède donc pas une collection d’albums très étendue. Quant à la dernière fois qu’il est allé au cinéma, il ne s’en souvient même plus. Il préfère ne pas s’attacher à des objets et consacrer son affection aux rares personnes en qui il a une totale confiance.

❝ in my boat ❞

Gale tenta de replier ses doigts mais la douleur lancinante qu’il ressentait dans la main le fit grimacer. Observant les dégâts visibles: sa peau violacée, ses phalanges gonflées, il estima qu’il n’avait rien de cassé. Il lui faudrait toutefois faire preuve de prudence dans les jours à venir, s’il voulait que son corps ait le temps de guérir. Avec un soupir où se mêlaient agacement et lassitude, il s’installa à la table de cuisine et plaça précautionneusement un sac de glace sur ses phalanges abimées. Par endroit, la peau écorchée provoquait une vive douleur et s’il l’avait désinfectée une vingtaine de minutes plus tôt, en revenant de son ‘boulot’, il ressentait encore la souffrance de sa peau comme si elle était picorée par un bec pointu. Il avait pourtant l’habitude, ce n’était pas la première fois qu’il terminait dans cet état, il avait vu pire. Mais cela n’arrangeait pas pour autant les choses. Ce n’était pas plus simple avec le temps, contrairement à ce qu’il avait cru. Il devenait meilleur, plus habile, plus avisé, mais il n’était pas immunisé contre les plaies, contre le danger, contre la violence. Chaque fois qu’il terminait en sang, il se disait qu’il allait bientôt arrêter. Il se le promettait. Et puis il se rappelait son enfance, cet homme qu’il considérait comme un père, qui l’avait sauvé, d’une certaine façon. Qui lui avait offert tout ce dont il pouvait rêver. Une famille, une vraie. Des amitiés solides et une confiance indestructible. Et chaque fois qu’il y repensait, toute sa volonté s’envolait. Il ne pouvait pas abandonner son travail. Il était important, on comptait sur lui, pas seulement pour effectuer le sale boulot d’autrui mais parce qu’il était indispensable. Il était réfléchi, sérieux, concentré. D’un point de vue tactique, on n’avait rien à lui reprocher. Il pensait à tout, au moindre détail signifiant. Et puis, finalement, que ferait-il d’autre s’il quittait ce mode de vie ? En un certain sens, c’était excitant, chaque ‘mission’ était unique. Chaque résultat, par contre, était le même. Il y avait bien d’autres facteurs qui entraient en compte, mais il tâchait de ne pas trop y penser. Sa relation avec Chiles, par exemple, vouée à rester secrète. Comment serait perçu, en effet, qu’il sorte avec elle, la fille de son sauveur, alors que tout ce qu’il faisait, c’était risquer sa vie ? Elle n’avait pas changé d’identité pour qu’il vienne tout compromettre mais qu’y pouvait-il ? Il n’y avait pas vraiment d’échappatoire. Il occupait une position délicate et il devait se montrer deux fois plus prudent pour ne pas mettre en péril ce à quoi il tenait plus que tout. Il serra les dents en constatant qu’une fois de plus, malgré l’admiration et l’amour qu’il portait à son sauveur, il avait la sensation d’être piégé. Etait-ce vraiment l’avenir qui lui était réservé ? Il lui arrivait d’aspirer à une vie paisible, sans remous, où son seul souci serait ‘qu’est-ce qu’on va manger ce soir ?’ mais il savait également qu’à vingt-trois ans, un mode de vie pareil ne lui conviendrait pas. Alors que faire ? Tiraillé entre un inconnu et une destinée bien trop connue, son cœur balançait. Alors en attendant qu’on lui montre la voie, il continuait sa besogne avec la fidélité d’un labrador. Que sa vie soit en danger lui importait peu, c’est peut-être ce qui le rendait si efficace. Que celles des gens qu’il aimait le soient, c’était une autre affaire. Epuisé par une nuit à veiller, il ressentait la tension dans chacun de ses muscles et c’est avec un soupir qu’il posa son bras libre sur la table en guise d'oreiller et y posa la joue, sa main blessée toujours emmitouflée dans la glace reposait quant à elle sur sa cuisse.
C’est un coup de téléphone, vers sept heures du matin, qui l’éveilla en sursaut. La tête encore dans le coton, le regard vague, Gale mit quelques secondes à réaliser où il était. Un coup d’œil à l’horloge murale suffit à le sortir de sa léthargie et c’est avec un grognement qu’il se leva pour aller décrocher. Il s’arrêta cependant à mi-course, un fourmillement désagréable affaiblissant sa cuisse. Il ne tarda pas à comprendre que la glace fondue avait eu un effet anesthésique sur sa jambe et son pantalon noir était trempé. Il se garda cependant bien de l’enlever, faisant abstraction de la gêne pour aller fouiller de sa main intacte dans sa veste en cuir, qu’il avait machinalement accrochée au portemanteau. « Allô ? » croassa-t-il sans même regarder qui était son interlocuteur. « Ça va ? » s’enquit la voix familière de son père adoptif. Les souvenirs lui revinrent. La nuit dans la voiture, à attendre sa proie, la filature, à travers les rues de Philadelphie et enfin la correction que l’homme avait apparemment bien méritée, aux dires du chef, qui avait réduit en charpie la peau du poing de Gale et qui avait probablement luxé ses doigts. « Tout va bien. » lui affirma le jeune homme d’une voix lugubre. Un raclement de gorge satisfait lui parvint du bout du fil et Gale se pinça les lèvres, attendant la suite. « Je t’attends ce soir, à sept heures, pour manger avec des collaborateurs. » Ce n’était pas une requête, mais un ordre que Gale se garderait bien de contredire. « Je serai là. » « Bien. » Et Hopkins conclut ce bref entretien sur ce mot. Gale raccrocha en soupirant et découvrit qu’il n’avait pas été le seul à appeler. Il y avait deux appels en absence. L’un de ses acolytes. L’autre de Chiles. Il caressa du pouce l’écran où le nom s’affichait et verrouilla le clavier. Il aurait tout le temps de voir son air désapprobateur lorsqu’il la rejoindrait ce soir, en attendant, il allait retrouver son lit où un repos bien mérité l’attendait, en espérant que ses doigts aient repris une taille et une couleur normales pour le diner de ce soir.

introducing palace players

PSEUDO/PRÉNOM ♡ anonymous. AVATAR ♡ Shiloh Fernandez. ÂGE ET SEXE ♡ too old to tell/F. COMMENTAIRES ♡ Si quoi que ce soit ne convient pas à l'auteur du scénario, je changerai illico presto You never know what could be waiting outside (gale johnson) 281647775

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♬ 'I walked the avenue, 'til my legs felt like stone (...) On the Streets of Philadelphia'. ♬
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Bienvenue
bonne continuation pour ta fiche

Je suis fan de l'avatar You never know what could be waiting outside (gale johnson) 3101353525

Bienvenuuue ! You never know what could be waiting outside (gale johnson) 1372483206

BIENVENUE. I love you

Chiles va t’assommer à coup de smiley tellement elle va être contente
bienvenue parmi nous et très bon choix de scénario. On est obligé d'avoir un lien ensemble, vu que t'es le bras droit et gauche du père de Chiles et que je suis agent du FBI

Bienvenue.

Bienvenue

C'est lolo qui va être contente You never know what could be waiting outside (gale johnson) 3743300444

L'avatar est pour le moment encore réservé à l'autre Gale, mais si il ne se manifeste pas d'ici ce soir, il sera remis en jeu et donc réservé pour toi Cool

Je viens de tout lire, c'est très bien I love you

Merci de t'être intéressé au scénario et donc, bienvenue ! You never know what could be waiting outside (gale johnson) 3495632180

Bienvenue. I love you

Bienvenue parmi nous. You never know what could be waiting outside (gale johnson) 3495632180

Bienvenue

Bienvenue

Bienvenue.

Merci beaucoup, tout le monde You never know what could be waiting outside (gale johnson) 3495632180

Je te valide !

Merci!

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