ABBIE ▲ let go of your pride

✯ ✯ ✯

NOM ♡ Macguire. PRÉNOM(S) ♡ Abbigail dite « abbie ». ÂGE ♡ vingt-neuf ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ♡ 26 juin 1982 à Dublin. NATIONALITÉ ♡ américaine. STATUT ♡ célibataire. PROFESSION/ÉTUDES ♡ agent du FBI. GROUPE ♡ workers. TRAITS DE CARACTÈRE ♡ drôle – orgueilleuse – sportive – bornée – intelligente – obstinée – sérieuse – attachante – lucide – tête brûlée – solitaire – bordélique – sensible - rancunière .

❝ the right profile ❞

Abbie a un gros chien qu’elle a appelé Whisky. Contrairement à ce que l’on peut penser, la trentenaire n’est pas une alcoolique, simplement, c’est le premier nom qui lui est passé par la tête. Abbie est deux personnes à la fois (non, je vous rassure, elle n'est pas schizophrène). En fait, il y a Abbie et l’agent du FBI, ce sont deux entités très différentes. L’une est timide et drôle, l’autres est orgueilleuse et sérieuse. Macguire s’est créée cet espèce de bouclier pour se protéger de ses collègues masculins. Il faut dire qu’elle en a drôlement bavé à l’école de police. → elle a peur des poissons rouges → petite, elle voulait devenir chanteuse et produire ses albums → Abbie est une fane de la série Friends → Elle voudrait pouvoir mettre Harry, le frère de William dans son lit → elle est allergique aux chats → Abbie ne peut pas se passer de caféine → elle pleure devant Love Actually qui est pour elle, le meilleure film jamais réalisé → elle a vu plus d’une fois les red hot en concert → Abbie a couché avec Adam Levine lorsqu’elle était plus jeune → Abbie retape une Triumph Bonnville T120 de 1958 léguée par son grand-père avant sa mort → elle possède aussi une Bandit 1250 de chez Suzuki → cette passion pour les motos vient du fait que son père l’emmenait faire des balades étant petite et tous les week-ends, ils retapaient des bécanes pour le plaisir → bien qu’elle soit passionnée par les motos, Abbie n’en reste pas moins une femme qui assume sa féminité → elle a toujours rêvé d’aller en France → Abbie a perdu l'homme de sa vie dans un accident de voiture il y a cinq ans de cela, depuis, c'est le désert total côté cœur → si elle ne sèche pas ses cheveux au sèche cheveux, ils se mettent à gonfler et à friser, du coup elle se retrouve avec une coupe afro → lorsqu'elle déprime, elle fait le ménage en écoutant les Maroon5, ça lui rappelle sa folle nuit avec Adam le chanteur.

introducing palace players

PSEUDO/PRÉNOM ♡ ABBIE ▲ let go of your pride 3923765765

AVATAR ♡ january jones. ÂGE ET SEXE ♡ ça fait quinze ans qu’on me dit que je suis une fille. COMMENTAIRES ♡ sublime forum, en plus j’ai eu un vrai coup de cœur pour ce scénario ( :.

✯ ✯ ✯

Spoiler:

❝ in my boat ❞

« papa, pourquoi les gens meurent ? je veux dire, pourquoi comme caramel et fiona, ils s’en vont pour toujours ? c’est pas juste. Nous on est là à attendre et eux ils s’en vont et ils nous manquent..beaucoup. » « et bien je suppose que c’est le lot de chaque être humain. Tu sais, nous ne sommes pas les seuls à avoir vu partir une personne qui nous était chère. En plus, sache ma fille que la vie est injuste. Mais ça, tu le découvrira bien assez tôt. » Allongés dans l’herbe de leur jardin, Jack et Abbie observaient les étoiles. N’ayant pas l’habitude que sa fille lui parle franchement, Jack fut surprit et ne trouva pas immédiatement les mots pour répondre à ces interrogations. Mais c’est un père et il arrive parfois qu’il est des éclairs de génie. Abbigail n’était pas satisfaite de cette réponse. Il faut dire qu’à huit ans on a un peu de mal à saisir ce genre de chose. C’est pour ça, qu’elle roula sur le côté, se blottit dans les bras de son géniteur et laissa couler les larmes. Inutile de la réconforter ou de tenter de la rassurer, elle vous enverra chier. Abbie préfère pleurer en silence et faire comme si tout était normal. C’est sans doute une façon bien à elle de se préserver de l’hypocrisie des gens. Ce jour là, elle venait de perdre ses deux poissons rouges. En fait, Abbie n'a jamais su conserver plus d'une semaine un poisson. Parfois elle oubliait de les nourrir, d'autre fois de nettoyer l'eau et une fois elle oublia de retirer le bocal près de la fenêtre, ce qui fait qu'elle retrouva ses poissons cuit. Mais chaque fois que le sien mourrait, son père filait lui en acheter un nouveau à l'animalerie, et chaque fois ils mourraient. Alors, ce soir là, elle les avait enterré et s'était pour la quasi toute première fois laissée aller.

P H I L A D E L P H I E, été 2007

« je suis désolée mademoiselle, nous n’avons rien pu faire.. » « non ! de quoi vous me parlez là merde ! c’est pas possible ! réessayez bordel ! c’est votre boulot de sauver des vies pas le miens ! je suis sur que vous n’avez pas tout essayé ! » Effondrée, Abbie ne voulait pas comprendre que c’était terminé, qu’il n’y avait plus rien à faire. Glissant sur le sol, elle se laissa aller à ses émotions. Inutile de l’aider à se relever ou lui tapoter le dos en signe de compassion, elle vous aurez envoyer chier. Pleurant toutes les larmes de son corps, elle gisait lamentablement le long d’un couloir de l’hôpital de Philadelphie. C’était inconcevable pour Abbie qu’il soit mort, partit. A peine cinq heures auparavant il était tout sourire assit devant la télé en buvant sa tasse de café. Pourquoi fallait-il que la vie vous arrache d’une façon si brutal les gens à qui vous tenez le plus. Elle qui ne croyait en rien, pas même en la vie, se retrouvait désormais seule pour affronter cet événement. La seule personne capable de lui remonter le moral, c’était son chien, son magnifique golden retriever Whisky. Depuis le décès de son père, Abbie n’avait pas gardé de contacte avec sa mère. La jeune femme ne s’était jamais plainte de cette situation. Il faut dire qu’elle n’a jamais eu de très bon rapport avec sa môman.

QUELQUES HEURES PLUS TÔT.

« Abbie, j’ai quelque chose à te demander. »

L’attirant contre son torse, Peter alluma la chaine stéréo. Il laissa les premières notes animer la pièce avant de se mettre à genoux. Plongeant son regard dans celui de la jeune femme, il prononça ces quelques mots « Abbigail Macguire, voulez-vous m’épouser. » Surprise et émue, elle se jeta dans ses bras. « oui » glissa-t-elle au creux de son oreille. Sortant le diamant de son étui Peet le passa autour du doigt d’Abbie. « tu sais quoi, je t’aime. » Fonçant sur ses lèvres, Abbigail ne lui laissa pas le temps de respirer et l’embrassa passionnément. Jamais Ô grand jamais elle n’aurait imaginer se marier un jour. Abbie, c’est un peu le genre de fille qui ne croit en rien. Alors, quand elle rencontra à Peet, elle se mit finalement à croire en lui, à croire en eux. A croire en une histoire hors du commun, quelque chose de rare et vraiment profond qui vous marque à vie. « tu sais quoi, moi aussi. » La prenant dans ses bras, Peter la jeta sur le lit et lui arracha son chemisier. Il était comme fou, possédé par ce désir incontrôlable qui l’empêchait de penser normalement.

[...]

« je crois que c’est la meilleure partie de baise que j’ai jamais eu. » Se mettant sur le côté, Abbie caressa le torse de l’intéressé. « je suppose que je dois prendre ça comme un compliment. » Enlacés l’un dans l’autre, leur corps ne faisait plus qu’un. Ils étaient là, déconnectés du monde extérieur. Plus rien ne comptait si ce n’est le bonheur de l’autre. Elle était loin la vision de son homme sur un pare-brise, lacéré par le verre, le corps inerte.

QUELQUES HEURES PLUS TARD.

Dévastée par ce tragique événement, elle erra de longues heures durant dans les ruelles de Philadelphie une bouteille de scotch à la main. Peter était sa roue de secours, la seule personne en qui elle est eu confiance. Sans lui, elle ne savait pas comment elle allait pouvoir continuer à vivre. Ce qui fut sans doute le plus douloureux, c’est l’instant où elle franchit le seuil de l’appartement, seule. S’effondrant littéralement sur le sol, elle continua à déverser un torrent de larmes. Abbie resta dans cet état un an durant. Ce fut l’année la plus difficile de sa vie. Cloitrée chez elle, elle refusait de sortir. Les rideaux fermés, elle restait assise sur son canapé les yeux perdu dans le vides. Et puis vint ce jour de juillet 2008 où en regardant à travers la fenêtre elle s’aperçut que la Terre avait continué de tourner, que les gens n’avaient pas baissé les bras, qu’ils vivaient. Ce fut le déclic. A partir de ce jour, elle se plongea corps et âme dans son travail.

« Alors Macguire, il paraît qu’on s’est fait tirée dessus hier ? » « La ferme Gutterson » S’emparant de son café, elle tourna les talons et se mit à marcher. Elle qui espérait avoir la paix aujourd’hui, devrait repasser une autres fois. Entendant des pas derrière elle, Abbie fit volte-face et renversa son café sur son interlocuteur. « putain t’es conne sérieux ! c’est bien les bonnes femmes ça, incapable de faire attention aux autres. C’est pour ça que tu t’es pris une balle merde ! » Furibarde, elle déversa le reste de café qui lui restait sur la tête de ce con de Gutterson. « t’es vraiment con Gutterson. Je comprends pas pourquoi ils nous ont foutu coéquipier. » Retournant à la machine à café, Abbie introduisit une pièce dans la fente prévue à cet effet. « t’arrêtes de me suivre ou merde ! Je vais finir par croire que je t’intéresses » Esquissant un sourire, elle s’empara du gobelet, se brûlant les doigts au passage. « plutôt crever que de m’intéresser à toi. J’ai pas le choix, comme tu l’as dit Harris nous a mit ensemble et on a du boulot ce matin. » « tu veux pas me laisser décompresser un peu là ! je viens à peine d’arriver que tu te jettes sur moi comme un gosse qu’aurait pas bouffé depuis trois jours. » « le boucher. » Il n’aura suffit que de deux mots pour qu’Abbie comprenne que c’était important. Vidant son café d’une traite, elle emboita le pas de son coéquipier. « alors, comme vous le savez tous, Macguire s’est fait tirée dessus hier soir… » Des hourras et des applaudissements se mirent à monter dans la petite salle de conférence du FBI. Tendant un doigt qui voulait tout dire, la jeune Macguire fit taire ses collègues. « oui bon.. aujourd’hui, six cadavres ont été retrouvé, il s’agit de six associés du boucher. Evidemment, nous n’avons pas de preuves, mais comme d’habitude, je vais vous demander d’en chercher. » Sur ces quelques mots, la vingtaine d’agents retournèrent à leurs occupations. Regagnant son bureau, Abbie s’affala sur son fauteuil et commença ses recherches en tapotant sur son clavier. « dit moi Macguignol, ça te dirais d’aller prendre un café avec moi un de ces jours.. » Arquant un sourcil, elle prit un malin plaisir à voir le visage de son interlocuteur se décomposer. « pour parler boulot évidemment.. » Baissant la tête elle ne put retenir un rire. « à une condition… » « celle que tu voudras. » « arrête de m’appeler Macguignol… » « j’ai bien peur que ça ne soit au dessus de mes moyens.. » Éclatant de rire, James se cassa la figue du bureau d'Abbie. Finalement il n’était pas si con que ça, en fait il avait même un certain charme.

Bienvenue

excellent choix d'avatar ABBIE ▲ let go of your pride 3461525486

Bienvenue
bonne continuation pour ta fiche.
JANUARY

Bienvenue

January

Très bon choix de scénario ABBIE ▲ let go of your pride 918584270

Bienvenue, de nouveau merci I love you

Merci Sirus
GOSHJACOBS tu me dois un lien parce que cette actrice est la femme de ma vie que j'adule plus que tout merci
Merci Neal, je me sens obligé de te retourner le compliment, même si Dave est moins sexy que son grand frère il n'en reste pas moins un dieu

Citation :: Abbie a couché avec Adam Levine lorsqu’elle était plus jeune.

bienvenue

Bein oui, je trouvais ça marrant
merci à vous deux en tout cas

C'est Max Irons, pas Dave Franco tongue

Mais j'aime les deux Franco ABBIE ▲ let go of your pride 660555693

gosh, je suis conne ou j'en fais exprès
je vais tondre la pelouse
bref, désolée de cette impardonnable méprise parce qu'ils ne se ressemblent pas beaucoup, m'enfin, Max est un dieu

Abbie Macguire a écrit:

GOSHJACOBS tu me dois un lien parce que cette actrice est la femme de ma vie que j'adule plus que tout merci

January est ma femme de ma vie à moi donc c'est sûr qu'on aura un lien qui déchire tout ya pas moyen autrement.